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L’obtention d’un nouveau prêt à la conso, d’un prêt hypothécaire ou l’acceptation d’une offre de rachat de crédits n’est pas une chose à prendre à la légère. Après tout, les prêts sont régis par des contrats et la signature d’un prêt constitue un véritable engagement.
C’est une promesse de l’institution financière, mais c’est aussi une promesse de l’emprunteur (vous). Dans cette section, nous allons voir à quoi vous devez faire attention lorsque vous demandez un prêt, ainsi que les étapes de la signature du paquet final de documents.
Loi relative au crédit à la consommation
« Un prêt crée une obligation et il doit être remboursé. Avant de signer un contrat, assurez-vous que vous êtes en mesure de remplir vos obligations ». Vous avez probablement entendu ou lu cette déclaration juridique dans des publicités pour des prêts.
En plus de cette déclaration, un autre document (fiche de dialogue, tableau de données ou ligne budgétaire, selon la banque ou l’établissement de crédit) doit être présenté. Ce document contient toutes les déclarations que vous avez faites lors de la demande de prêt. Quel est son objectif ?
Pour s’assurer que vos déclarations sont correctes et que le prêteur peut évaluer votre solvabilité sur une base de données fiables. Cette déclaration est contraignante. Vous devez le signer, et si vous mentez sur quoi que ce soit, votre intégrité et donc la validité du contrat seront remises en question. Avant de souscrire, il faut donc bien retenir ce qu’engage un crédit conso.
Mentir pour gagner la confiance est une très mauvaise idée
Pensez-vous que mentir à l’organisme prêteur vous permettra d’obtenir plus facilement un prêt ? Si vous demandez un prêt à la conso, ne pensez-vous pas que le fait de cacher certaines de vos dettes améliorera votre réputation et donc les conditions du prêt ? En fait, les prêteurs décident de vous accorder ou non un prêt sur la base des documents demandés et de vos réponses honnêtes. Sur la base de ces facteurs, ils évalueront le niveau de risque et prendront des engagements.
En outre, les prêteurs utilisent leurs propres fichiers internes et la base de données, qui est gérée par la Banque de France, pour étudier l’historique du client.
Comme la plupart des informations peuvent être vérifiées, il est inutile de mentir. Dans le pire des cas, le mensonge peut conduire à l’invalidation du contrat. Si des problèmes de remboursement surviennent et qu’il s’avère que vous avez menti lors de la demande initiale, vous pouvez vous retrouver en conflit avec vos créanciers.